A l’ombre d’un bouleau
A l’ombre d’un bouleau, contemplant la nature,
Les vastes paysages qui s’offrent à mes yeux,
Au premier jour de mes 40 ans
Conscient de mes forces et faiblesses,
Au soir de ma vive jeunesse,
Je ne suis ni souffrant ni fringant
Au premier jour de mes quarante ans.